L'association "Radiche" nait de la
conscience qu'entre la Corse et l'Italie ont existe', et
continuent d'exister encore aujourd'hui, de profondes
affinites historiques, artistiques et
sociolinguistiques.
film
TV "Liberata"
Francia,
2005 Piccola
analisi linguistica e
storica
film
TV "Liberata"
France,
2005 Petite
analyse linguistique et
historique
Ideata nel 2005 come
serie di telefilm in 5 episodi, trasmessi su
France
3
e successivamente trasposti in pellicola
cinematografica, "Liberata" è una fiction
storica ambientata nella Corsica occupata dagli
Italiani durante la Seconda Guerra Mondiale;
situazioni specifiche e personaggi sono frutto di
fantasia, ma il contesto storico (quello sì,
reale) è ben ricostruito, seppure
sommariamente, e la vicenda narrata appare
verosimile.
Una sintetica
trama del film può essere desunta dal testo
pubblicato sulla copertina del DVD, da cui è
liberamente tratto il brano che segue:
Marzo
1943, in piena occupazione italiana della
Corsica, due fratelli partigiani comunisti si
legano strategicamente a due soldati italiani al
fine di carpire le informazioni necessarie
all'organizzazione di lanci col paracadute nella
regione della Balagna. Tra i quattro uomini
nasce un'amicizia vera, prologo dell'alleanza
che seguirà allo sbarco alleato ad
Ajaccio nel settembre dello stesso anno.
"Liberata"
è una commedia drammatica che mette in
scena i pittoreschi protagonisti di un villaggio
occupato. "Liberata" è anche il nome
della più bella ragazza del villaggio,
personaggio dal carattere forte, oggetto di
attenzioni e desideri.
Il film
utilizza le lingue effettivamente parlate in
quel contesto storico, ossia il còrso,
l'italiano e il francese, al fine di avvicinarsi
il più possibile all'autentica atmosfera
dell'epoca.
Imaginée en 2005 en tant que
téléfilm en 5 épisodes,
diffusés sur France
3
puis transposés en un film pour le
cinéma, « Liberata » est une
fiction historique qui a pour cadre la Corse sous
l'occupation italienne pendant la Seconde Guerre
Mondiale ; les situations en elles-mêmes et
les personnages sont fictifs, mais le contexte
historique (qui lui, en revanche, est bien
réel) est bien reconstitué, bien que
sommairement, et les événements
racontés apparaissent
vraisemblables.
On trouve sur la
jaquette du DVD un résumé de la trame
du film, dont est librement tiré l'extrait
suivant :
Mars
1943, lors de l'occupation de la Corse par
l'Italie, deux frères résistants
communistes forment une alliance
stratégique avec deux soldats italiens
afin de réunir les informations
nécessaires à un largage de
parachutistes en Balagne. Entre les quatre
hommes va naître une amitié
sincère, prologue de l'alliance qui fera
suite au débarquement allié
à Ajaccio en septembre de la même
année.
«
Liberata » est une comédie
dramatique qui met en scène les
pittoresques habitants d'un village
occupé. « Liberata » est aussi
le nom de la plus belle femme du village,
personnage au caractère fort, objet
d'attention et de désirs.
Le film
utilise les langues qui étaient
effectivement parlées alors, à
savoir le corse, l'italien et le
français, afin d'obtenir
l'atmosphère la plus authentique
possible.
Alcune situazioni
descritte nel film appaiono un po' pretestuose (ad
esempio, l'attività di Liberata, creatrice
di cappellini alla moda in un villaggio che appare
quasi deserto) e inserite giusto per arricchire
l'ambientazione; infatti, non sono molti gli attori
impiegati in questa fiction, le comparse sono
scarsissime e il villaggio sembra abitato dai soli
protagonisti; l'espediente, peraltro, permette di
concentrarsi sulla vicenda e sui
personaggi.
Il regista
Philippe Carrese [1]
ha tratteggiato alcune figure tipiche, quasi
stereotipate, che avremmo potuto incontrare nella
Corsica dell'epoca, quali il partigiano (quello
comunista e quello no), il collaborazionista
filoitaliano, il fascista crudele, il soldato
italiano poco propenso a far la guerra e
così via.
Le truppe
italiane appaiono assai poco dotate di spirito
combattivo. Santu, uno dei fratelli protagonisti,
appena giunto in treno da Ajaccio incontra un
soldato napoletano che, strimpellando una chitarra,
sta intonando "Torna
a Surriento".
«Credere, obbedire, combattere»,
declama il còrso, in tono un po'
canzonatorio. Al che l'italiano risponde:
«Credere? A chi? Obbedire, tanto
quanto Combattere, a chi? A te? Ma vattenne,
va'...» E così,
in effetti, stavano le cose: in occasione
dell'occupazione dell'isola, le truppe
dell'esercito italiano non sentirono i Còrsi
come nemici e, anzi, con essi strinsero spesso
rapporti di simpatia, quando non di collaborazione.
Diverso il discorso per la Milizia, i cui
componenti erano anche noti come "Camicie Nere"
[2]
e che non risparmiarono i soliti orrori in Corsica
così come altrove, Italia
compresa.
Al termine del
film, i due fratelli còrsi (Santu e Ottone)
si autoidentificano come "spiriti" nei confronti
del collaborazionista filoitaliano, che li credeva
morti e che da li a pochissimo finirà
ucciso; questo episodio ha un parallelo, non
sappiamo quanto voluto, con il film
"The
Corsican Brothers"
di Gregory Ratoff del 1941 (tratto dal celebre
romanzo di Alexandre Dumas, Les
Frères
Corses),
dove il cattivo, vedendo comparire il fratello
(gemello) dell'uomo da lui assassinato poco prima,
lo scambia per un fantasma. Qui, per la prima e
l'ultima volta in tutta la pellicola, compare anche
l'abusato tema della vendetta corsa («A
vindetta hè per i vivi», dice uno
dei fratelli), ed è Liberata stessa a
rendersene protagonista, uccidendo colui che aveva
causato, sebbene indirettamente, la morte del
marito Paolu Antone. Nel resto del film, infatti,
il filo conduttore non è la vendetta,
bensì la rivalsa nei confronti
dell'occupante straniero.
Tuttavia, la vera
novità contenuta in "Liberata" resta il
naturale accostamento delle tre lingue in uso nella
Corsica d'allora, ossia francese, corso e italiano.
Questo esperimento ci consente di proporre qualche
considerazione in merito.
Quelques
éléments décrits dans le film
semblent quelque peu superflus (par exemple, la
profession de Liberata, créatrice de petits
chapeaux à la mode dans un village qui
semble quasi désert) et ajoutés
uniquement pour enrichir le décor ; en
effet, les acteurs participant à cette
fiction sont peu nombreux, et le village ne semble
habité que par les personnages principaux ;
cela permet par ailleurs de se concentrer sur les
événements et les
personnages.
Le metteur en
scène Philippe Carrese [1]
a dessiné quelques figures typiques, presque
des stéréotypes, que nous aurions pu
rencontrer dans la Corse de l'époque,
à savoir le résistant (l'un
comuniste, l'autre non), le collaborationniste
italianophile, le fascite cruel, le soldat italien
peu disposé à faire la guerre et
ainsi de suite.
Les troupes
italiennes apparaissent très peu
portées au combat. Santu, l'un des
frères et personnages principaux du film,
sitôt arrivé par le train d'Ajaccio,
recontre un soldat napolitain en train de chanter
« Torna
a Surriento
»
en jouant de la guitarre. « Croire,
obéir, combattre », déclame
le Corse avec un ton quelque peu moqueur. Ce
à quoi l'Italien répond : «
Croire à qui ? Obéir,
admettons Combattre qui ? Toi ? Mais va-t-en
donc ». C'est
ainsi, en effet, que les choses se passaient : lors
de l'occupation de l'île, les troupes de
l'armée italienne ne considéraient
pas les Corses comme des ennemis et au contraire
elles tissèrent souvent avec eux des liens
d'amitié, voire d'entraide. Le discours est
tout autre à l'égard de la Milice,
dont les membres étaient connus en tant que
« Chemises Noires » [2]
et se rendirent coupables des atrocités
qu'on leur connaît, en Corse comme ailleurs,
y compris en Italie.
Au terme du film,
les deux frères corses (Santu et Ottone)
s'identifient eux-mêmes comme « esprits
» devant le collaborationniste, qui les
croyait morts et qui sera tué par eux peu de
temps après ; ce passage trouve un
écho, dont nous ignorons dans quelle mesure
il est volontaire, avec le film «
The
Corsican Brothers
»
(1941) de Gregory Ratoff (tiré du
célèbre roman d'Alexandre
Dumas,Les
Frères
Corses
),
où le méchant, en voyant
apparaître le frère (jumeau) de
l'homme qu'il a assassiné peu de temps
auparavant, le prend pour un fantôme. C'est
aussi à ce moment-là, pour la
première et dernière fois dans tout
le film, que l'on voit mis en scène le
thème usé de la vendetta corse
(« A vindetta hè per i vivi
», dit l'un des deux frères), et c'est
Liberata elle-même qui s'en fait l'auteur, en
tuant le responsable, même indirect, de la
mort de son mari Paulu Antone. En effet, le fil
conducteur du reste du film n'est pas la vendetta,
mais la revanche face à l'occupant
étranger.
Toutefois,
la véritable nouveauté de «
Liberata » demeure la manière d'aborder
naturellement les trois langues, le corse,
l'italien et le français. Cette tentative
nous permet de proposer quelques
considérations à ce sujet.
[Traduction
de Eiustessu]
Il
fascista e il patriota Paolu Antone
(Orlando Forioso e Philippe
Ambrosini)
Paolu,
il collaborazionista filoitaliano (Jo
Fondacci)
Nota -
Queste sò cunsiderazioni di un
Talianu nant'à lingua corsa, ma
hè chjara ch'ella ci vulerià
à dì qualchì cosa di
più nant'à 'stu argumentu.
Per indettu, sarìa ghjustu
chì listessa analisi fusse un corsu
à falla, à partesi da u
sò puntu di vista; soca chì
qualchì amicacciu tene u laziu di
mettesi à scrive duie
parulle...? :-)
Tra i personaggi
secondari del film c'è un tecnico radio
inviato da Londra, dal fare un po' supponente, che
nota stranezze ovunque, proponendo paralleli
improbabili con altri luoghi del mondo. A stupirlo
alquanto è la stessa lingua adoperata dai
Còrsi:
Considérations
linguistiques
Remarque :
Les considérations ci-dessous
sont celles dun Italien à
propos de la langue corse, mais il est
évident quil faudrait en dire
davantage à ce sujet. Par exemple,
il serait juste quun Corse fasse ce
type danalyse, selon son propre
point de vue ; peut-être
y-a-t-il un ami corse désireux de
commencer à écrire quelques
mots ? :-)
Parmi les
personnages secondaires du film se trouve un
technicien radio envoyé de Londres, aux
manières un peu hautaines, qui relève
des étrangetés partout et propose des
parallèles improbables avec dautres
lieux dans le monde. La langue même
quutilisent les Corses le surprend quelque
peu :
All'orecchio
di un italiano, è cosa nota, la lingua corsa
suona immediatamente familiare, grazie al substrato
grammaticale e lessicale. Pressoché
interamente comprensibile, prestando appena un po'
d'attenzione, di primo acchito il còrso
ricorda un dialetto centroitalico, senza esserlo
del tutto. Peraltro, poiché l'uditore
italiano medio non ha molte occasioni di ascoltare
dialoghi in lingua corsa, l'inflessione
"dialettale", sebbene familiare, risulta
inquadrabile con difficoltà.
A loreille
dun Italien, le fait est connu, la langue
corse semble immédiatement familière,
grâce au substrat grammatical et lexical.
À peu de choses près
complètement compréhensible, pour peu
que lon tende légèrement
loreille, le corse fait penser au premier
abord à un dialecte dItalie centrale,
sans lêtre totalement. Par ailleurs,
dans la mesure où lItalien moyen
na pas que peu loccasion
découter des dialogues en corse, il
lui est difficile de cerner linflexion
« dialectale », bien que
celle-ci soit familière.
Il
collaborazionista Paolu è l'attore Jo
Fondacci, già visto in "L'Enquête
Corse"
Appare
significativa, anche dal punto di vista della
narrazione, la scena in cui uno dei soldati
italiani sbotta dicendo: «Non parliamo
francese! Non ci capiamo un'acca. Quante volte devo
dirvelo: parlate-in-còrso.». In
quel momento, fra i due Còrsi passa uno
sguardo d'intesa perché diviene chiaro che,
in certe occasioni, è preferibile parlare in
francese: sarà più difficile che il
nemico capisca, anche se ascolta. In questa breve
scena è spiegata, meglio che in cento
pagine, l'intercomprensibilità tra italiano
e còrso.
Est
significative, même du point de vue de la
narration, la scène dans laquelle un des
soldats italiens laisse éclater sa
colère et dit : « Nous ne
parlons pas français ! On ne comprend
pas un mot ! Combien de fois il faudra le
répéter : parlez en
corse. ». À ce moment, les
deux Corses séchangent un regard
entendu car il devient clair quen certaines
occasions il est préférable de parler
français : il sera plus difficile pour
lennemi de comprendre, quand bien même
il écouterait. Cette scène illustre
lintercompréhension entre corse et
italien mieux que ne le ferait un livre
entier.
L'idioma
còrso, per quanto mediamente comprensibile
dagli Italiani, viene talvolta percepito come
alieno in funzione della sua azione al tempo stesso
iperconservativa, laddove mantiene parole arcaiche
che l'italiano standard odierno ha pressoché
abbandonato, e sincretica, nel momento in cui
assume e ingloba parole derivate dal lessico
francese.
«Allora,
bon viaghju è bella pruminata»,
augura Paulu Antone a Santu, in una delle prime
scene del film. Viene da chiedersi perché
sia stato usato il francesismo "prumenata" (da
"promenade") al posto della parola corsa
"passighjata": forse si è voluto rendere
più comprensibile il discorso a un pubblico
francofono, ma allora non si spiega l'uso dei
sottotitoli. Ad ogni modo, è un buon esempio
di come le parole francesi abbiamo contaminato in
modo profondo il linguaggio còrso, non solo
arricchendolo di nuovi termini come "sceffu" da
"chef" (capo, si veda "capotreno" che
diventa "u sceffu di u trenu") o "usina" da
"usine" (fabbrica), ma anche generando la
sostituzione di parole antiche con termini
più vicini al francese, com'è il caso
di "sciarcutteria", da "charcuterie", al
posto di "salameria".
Lidiome
corse, tout en étant relativement
compréhensible par les Italiens, est parfois
perçu comme étranger à cause
à la fois de son caractère
hyperconservateur, car il maintient lusage de
mots archaïques que litalien stantard
actuel a presque abandonné, et de son
caractère synchrétique, quand il
sapproprie des mots issus du lexique
français.
« Allora,
bon viaghju è bella
pruminata », souhaite Paulu Antone
à Santu, dans lune des
premières scènes du film. On en vient
à se demander pourquoi on a utilisé
le gallicisme « pruminata » (de
« promenade ») à la
place du mot corse
« passighjata »
(passeggiata en italien) :
peut-être a-t-on voulu rendre le discours
intelligible pour un public francophone, mais dans
ce cas on ne peut sexpliquer
lutilisation de sous-titres. En tout cas,
cest un bon exemple qui illustre comment les
mots français ont contaminé de
manière profonde le langage, non seulement
en lenrichissant de nouveaux termes tels que
« sceffu » pour
« chef » (capo en
italien : voir « capotreno »
qui devient « u sceffu di u
trenu ») o « usina »
pour « usine » (en italien :
fabbrica), mais également en
remplaçant des mots anciens par des termes
plus proches du français, comme dans le cas
de « sciarcutteria » pour
« charcuterie », au lieu de
« salameria » (en italien :
salumeria).
Interessante
un particolare che emerge nel primo dialogo tra
Liberata e il marito Paolu Antone: la donna vuole
farsi chiamare Simone, mentre il marito sbotta:
«Mi scuserai, ma eo mi so maritatu cu
Liberata, micca cù Simone.»
«Simone, ça fait plus moderne que
Liberata!», è la secca riposta. In
seguito l'episodio, con altri interlocutori,
verrà replicato più volte. Questo
frammento ci ricorda che la perdita della lingua
corsa (e forse, in parte, dell'identità
culturale) è passata anche attraverso la
vergogna, ingiustificata ma comprensibile, di
possedere nomi che marchiavano in modo indelebile
chi li portava, perché essere Còrsi
significava anche e soprattutto, quantomeno per il
resto della Francia, essere poveri e ignoranti; per
non apparire come francesi di serie B, i
Còrsi abbandonano i nomi originali (in
ciò "aiutati" dalla legislazione francese),
tentano di acquisire una cantilena meno
identificabile, mettono in secondo piano la loro
lingua, all'epoca classificata come "patois"
(dialetto, con connotazione dispregiativa) e
bandita dagli uffici pubblici e dalle scuole. Anche
il contatto con i francofoni delle grandi
città, non solo sulla terraferma ma anche in
Corsica, specie a livelli sociali medio-alti, fa
sì che poco a poco, quasi inconsapevolmente,
l'accento originario si modifichi e le "erre"
vengano pronunciate alla francese. Ancora in
"Liberata" è lo stesso Santu a essere
canzonato, prima dalla madre e poi dal fratello,
per il suo accento "pinzutu", assunto ad Ajaccio.
In
proposito si può notare che, nel film, la
maggior parte degli attori, per quanto corsofoni
(tolta l'attrice Shani Sabaty, ossia Liberata, che
ha imparato qualche frase per l'occasione),
utilizza una "erre" decisamente francese, evidente
all'orecchio di un italiano; questo fenomeno si
riscontra in modo assai diffuso nella Corsica
d'oggi. C'è chi, minimizzando questo
cambiamento, sostiene che la "erre" francese sia
sempre stata una caratteristica dei Còrsi,
anche prima dell'invasione linguistica; a confutare
questa tesi bastano le registrazioni d'epoca e quei
rari Còrsi ancora oggi in grado di parlare
fluentemente la loro lingua (sempre che non abbiano
assunto la "erre" francese nel corso della loro
vita, per esempio a scuola).
On peut relever
un détail intéressant dans le premier
dialogue entre Liberata et son mari Paulu
Antone : la femme veut être
appelée Simone, et son mari réagit
vivement : « Mi scuserai, ma eo
mi sò maritatu cù Liberata, micca
cù Simone. ». Elle lui
répond alors sèchement
« Simone ça fait plus moderne
que Liberata ! ». Par la suite
cette scène se répètera
plusieurs fois, avec dautres interlocuteurs.
Ce morceau nous rappelle que la perte de la langue
corse (et peut-être, en partie, de
lidentité culturelle) sest faite
aussi à travers la honte, injustifiée
mais compréhensible, davoir des noms
qui marquaient de manière
indélébile ceux qui les portaient,
car être corse signifiait aussi et surtout,
au moins aux yeux du reste de la France, être
pauvre et ignorant. Pour ne pas apparaître
comme des Français de seconde zone, les
Corses abandonnent leurs noms originaux
(« aidés » en cela par
la législation française), tentent
davoir un nom moins identifiable, mettent au
second plan leur langue, à
lépoque classée en tant que
« patois » et bannie des
organismes publiques et de lécole.
Même le contact avec les francophones des
grandes villes, non seulement sur le Continent mais
aussi en Corse, particulièrement dans les
classes sociales moyennes ou supérieures,
fait en sorte que peu à peu, presque
inconsciemment, laccent dorigine se
modifie et les « r » sont
prononcés à la française.
Encore une fois on peut le voir dans
« Liberata » et Santu
lui-même est moqué, dabord par
sa mère puis par son frère, à
cause de son accent
« pinzutu », contracté
à Ajaccio.
À ce
propos, on peut remarquer que, dans le film, la
majeure partie des acteurs, pour autant quils
soient corsophones (hormis lactrice Shani
Sabaty, alias Liberata, qui a appris quelques
phrases pour loccasion), prononce des
« r » assurément bien
français, clairement identifiables comme
tels par un Italien ; Ce
phénomène est très
répandu dans la Corse
daujourdhui. Certains, tout en
minimisant ce changement, soutiennent que le
« r » français a
toujours été présent en
corse , même avant linvasion
linguistique ; les enregistrements
dépoque et des rares Corses encore
aujourdhui en mesure de parler couramment
leur langue (pour peu quils naient pas
pris lhabitude de produire le
« r » français au cours
de leur vie, par exemple à
lécole) suffisent à
réfuter cette thèse.
[Traduction
de Eiustessu]
Spunti di analisi storica
Sinora il film,
giunto persino in Russia [copertina],
non è ancora stato distribuito in Italia,
neanche nella versione DVD. Eppure le premesse per
un discreto successo ci sono tutte: il film
è complessivamente di buona qualità,
vi si narrano vicende storiche che coinvolgono
l'Italia in modo diretto e, inoltre, due delle tre
lingue utilizzate (italiano e còrso) sono
comprensibili all'uditore italofono, il che non
può dirsi, mediamente, per il pubblico
dell'Hexagone.
Va considerato
che non sono rari i casi di film, realizzati in
Italia, parlati in parte o totalmente in dialetto e
dunque, se vogliamo, incomprensibili a una parte
del pubblico, eppure questi sono stati regolarmente
programmati: l'ultimo della serie (2010) è
lo splendido "L'uomo
che verrà"
di Giorgio Diritti, girato in buona parte in
dialetto bolognese e sottotitolato in italiano. Nel
caso di "Liberata", in Italia si sarebbe potuto
ricorrere ai sottotitoli per le parti parlate in
francese.
"Liberata" non
è certo il primo film straniero incentrato
su vicende della storia italiana a essere ignorato
dal nostro circuito cinematografico: addirittura
eclatante fu il caso de "Lion
of the Desert"
di Moustapha Akkad (1981), censurato dal governo
perché considerato lesivo dell'onore
dell'Esercito Italiano.
In effetti,
"Liberata" contiene alcune scene che potrebbero
creare qualche imbarazzo al pubblico italiano; ad
esempio, l'ufficiale fascista impersonato da
Forioso è lo specchio dell'immoralità
più abbietta, per non dire della scena in
cui lo stesso ufficiale viene impiccato sotto gli
occhi compiaciuti di un militare sbandato, lo
stesso che s'incontra all'inizio del film, che
commenta in napoletano: «E fammilu
guardà. Nu spettacolo accusì, quanno
capita cchiù!» (l'episodio richiama
alla mente quello assai più noto di
piazzale
Loreto ).
Ma in Italia siamo abituati a film-documento anche
più crudi, in cui il contrasto tra
popolazione civile, fascisti e partigiani è
stato raccontato con dovizia di particolari, senza
risparmiare nessuna delle parti.
Dunque, in
"Liberata" non compare nulla di nuovo. Semmai,
viene ulteriormente sottolineata la differente
indole che contraddistingueva le truppe di stampo
fascista (come le Camicie Nere) dai semplici
componenti dell'esercito; questi ultimi non amavano
affatto la guerra e anzi, forse in Corsica
più che altrove, sentivano di essere stati
trascinati in un'avventura che non condividevano.
Non a caso, dopo l'armistizio
dell'8 settembre ,
le truppe italiane, guidate dai loro ufficiali,
sosterranno la causa partigiana corsa. In proposito
esistono molti aneddoti riportati in documenti e
testimonianze; si veda, ad esempio questo
estratto
video
.
Nonostante,
dunque, la relativa innocuità politica della
pellicola (anzi, il tono è assai
conciliatorio, in particolar modo al termine del
film), colpisce il fatto che, anche questa volta,
non sia stata colta l'occasione di risvegliare
negli Italiani la coscienza di quanto la cultura
corsa abbia in comune con la loro, a partire
dall'intercomprensione linguistica.
Eléments
d'analyse historique
Jusqu'à
présent le film, parvenu jusqu'en Russie
(jaquette),
n'a pas encore été distribué
en Italie, pas même dans sa version DVD. Et
pourtant tout porte à croire qu'il aurait un
succès tout à fait convenable :
dans l'ensemble le film est de bonne
qualité, on y raconte des
événements historiques qui impliquent
directement l'Italie et en outre deux des trois
langues utilisées (italien et corse) sont
comprises par les italophones, ce qui ne saurait
être le cas pour le public français en
général.
Il faut savoir
qu'il n'est pas rare de voir des films
réalisés en Italie, en partie ou
entièrement en dialecte et donc d'une
certaine manière incompréhensibles
pour toute une partie du public, mais malgré
tout régulièrement
diffusés : le dernier en date (2010)
est le splendide « L'uomo
che verrà »
de Giorgio Diritti, tourné en grande partie
en dialecte bolognais et sous-titré en
italien. Dans le cas de
« Liberata », en Italie on
aurait pu recourir aux sous-titres pour les parties
en français.
« Liberata »
n'est certainement pas le premier film
étranger centré sur des
événements de l'histoire de l'Italie
à être ignoré par notre monde
cinématographique : le cas de
« Lion
of the Desert »
de Moustapha Akkad, censuré par le
gouvernement car selon lui il aurait nui à
la réputation de l'Armée italienne,
(1981) en est un exemple frappant.
En effet,
« Liberata » comporte des
scènes qui pourraient embarrasser le public
italien ; par exemple, l'officier fascite
joué par Forioso est l'image de
l'immoralité la plus abjecte, sans parler de
la scène dans laquelle ce même
officier est pendu sous le regard complaisant d'un
militaire en débandade, celui-là
même que l'on rencontre au début du
film et qui commente en napolitain :
« E fammilu guardà. Nu
spettacolo accusì, quanno capita
cchiù! » [Laissez-moi
regarder. Un spectacle de ce genre-là, quand
est-ce que j'aurai l'occasion de le revoir?]
(la scène rappelle celle largement plus
connue de Piazzale
Loreto
).
Mais en Italie nous sommes habitués à
des films documentaires encore plus crus, dans
lesquels le contraste entre civils, fascites et
résistants est raconté avec une
abondance de détails qui n'épargnent
aucun des camps.
Il n'y a donc
rien de nouveau dans
« Liberata ». Tout au plus, on
souligne davantage l'état d'esprit
différent qui distinguait les troupes
purement fascites (comme les Chemises Noires) des
simples soldats composant l'armée ; ces
derniers n'aimaient pas du tout la guerre et
avaient même, en Corse peut-être plus
qu'ailleurs, le sentiment d'avoir été
entraînés dans une aventure dont ils
ne voulaient pas. Ce n'est pas par hasard
qu'après l'armistice
du 8 septembre
les troupes italiennes, dirigées par les
officiers, soutiendront la résistance corse.
À ce propos, il existe de nombreuses
anecdotes rapportées dans des documents et
des témoignages. Voir par exemple cet
extrait.
En
définitive, malgré le
caractère relativement inoffensif sous
l'aspect politique du film (au contraire, le ton
est très conciliant, particulièrement
à la fin), on est frappé par le fait
qu'une fois de plus on n'ait pas profité de
l'occasion pour réveiller chez les Italiens
la conscience de la proximité des cultures
corse et italienne, en partant de
l'intercompréhension
linguistique.
[Traduction
de Eiustessu]
I
due soldati italiani presso lo stazzale
dei fratelli partigiani corsi.
Lo strano pudore
che impedisce di raccontare con chiarezza, o almeno
senza veli, l'evidente corrispondenza linguistica
italiano-còrso si era già manifestato
in occasione della distribuzione in Italia della
divertente commedia "Il Bandito Corso"
("L'enquête
Corse"
) di Alain Barbérian (2004); in quel caso,
la traduzione in italiano di un breve scambio di
battute tra i protagonisti (Christian Clavier, Jean
Reno e Caterina Murino) ha stravolto in senso
originale delle frasi in modo davvero bizzarro e,
diremmo, senza motivo apparente; ecco il dialogo
francese/còrso originale comparato con la
traduzione fattane per la versione
italiana:
L'étrange
cas de l' « Enquête Corse
»
L'étrange
pudeur qui empêche d'énoncer
clairement, ou du moins sans voile, la
correspondance linguistique évidente entre
langues corse et italienne s'était
déjà manifestée en Italie
à l'occasion de la distribution de la
plaisante comédie « L'Enquête
Corse
»
d'Alain Barbérian (2004). Dans ce cas, la
traduction en italien d'un bref échange de
répliques entre les protagonistes (Christian
Clavier, Jean Reno et Caterina Murino) a
bouleversé le dialogue de manière
originale et bizarre, et disons sans motif
apparent. Voici le dialogue français/corse
original comparé à la traduction qui
en a été faite pour la version
italienne :
Angelu
(Jean Reno) e Lea (Caterina Murino), in auto,
parlano in còrso per non farsi capire da
Rémi (Christian Clavier):
(Versione
originale)
L.:
Ha pigliatu u bigliettu pà riparte
dumane. Socu sicura che nun sa nunda, Angelu. Ha
preso il biglietto per ripartire domani. Sono
sicura che non sa nulla,
Angelu. A.: Tandu, pà te, hè a pulizza
chì a [u] manipuleghja, à stu
cretinu. Quindi,
per te, è la polizia che sta manipolando
questo cretino. R.:
C'est pas la peine de parler en patois, j'ai fait
sept ans d'italien! Non
è mica il caso di parlare in dialetto, ho
fatto sette anni
d'italiano! A.: Ce
n'est pas un patois, le corse. C'est une
langue. Non
è un dialetto, il còrso. E' una
lingua. L.: Et ça n'a rien à voir avec
l'italien, en plus. E
non ha nulla a che vedere con l'italiano,
inoltre. R.: Oui, mais "cretino" ça se dit
pareil, en tout cas! Sì,
ma "cretino" si dice allo stesso modo,
comunque!
(Versione
italiana)
L.:
Ha preso il biglietto per ripartire domani.
Sono sicura che non sa nulla, Ange. A.: Quindi, per te, è la polizia che
sta manovrando questo
cretino. R.:
Va
bene parlare come se non ci fossi, ma almeno non
insultate. A.:
Fa'
silenzio, per favore. Stiamo
riflettendo. L.:
E se troviamo una soluzione, va meglio anche per
te. R.: Sì,
ma "cretino" potete anche
risparmiarvelo.
Angelu (Jean
Reno) et Lea (Caterina Murino), en voiture, parlent
en corse pour ne pas être compris de
Rémi (Christian Clavier) :
(Version
originale)
L.: Ha
pigliatu u bigliettu pà riparte dumane. Socu
sicura che nun sa nunda, Angelu. Il
a pris le billet pour repartir demain. Je suis
sûre qu'il ne sait rien, Ange. A.:
Tandu, pà te, hè a pulizza
chì a [u] manipuleghja, à stu
cretinu. Alors,
d'après toi, c'est la police qui manipule ce
crétin. R.:
C'est
pas la peine de parler en patois, j'ai fait sept
ans d'italien! A.:
Ce
n'est pas un patois, le corse. C'est une
langue. L.: Et
ça n'a rien à voir avec l'italien, en
plus. R.: Oui,
mais "cretino" ça se dit pareil, en tout
cas!
(Version
italienne)
L.: Ha
preso il biglietto per ripartire domani. Sono
sicura che non sa nulla, Ange. Il
a pris le billet pour repartir demain. Je suis
sûre qu'il ne sait rien, Ange. A.:
Quindi, per te, è la polizia che sta
manovrando questo cretino. Alors,
d'après toi, c'est la police qui manipule ce
crétin. R.:
Va bene parlare come se non ci fossi, ma almeno non
insultate. Ça
va de parler comme si je n'étais pas
là, mais au moins ne m'insultez pas
! A.: Fa' silenzio, per favore. Stiamo
riflettendo. Tais-toi
s'il-te-plaît, on est en train de
réfléchir. L.: E se troviamo una soluzione, va meglio
anche per te. Et
si on trouve une solution, ce sera mieux pour toi
aussi. R.: Sì, ma "cretino" potete anche
risparmiarvelo. D'accord,
mais "crétin" vous auriez pu vous abstenir
!
Al di là del fatto che la versione italiana
della scena ne ha sminuito l'effetto comico, si
possono evidenziare almeno due dettagli
interessanti.
Nella versione
originale, il francofono (Clavier) intuisce che il
còrso assomiglia all'italiano e lo definisce
"patois"; ciò provoca la reazione immediata
dei Còrsi (Reno e Murino) che rivendicano
per il loro idioma lo status di "lingua",
chiarendo inoltre che "non ha nulla a che vedere
con l'italiano".
Nella versione
italiana è sparito ogni riferimento alla
lingua còrsa: in tutto il film non si sente
nemmeno una parola in còrso.
Circa questi e
altri episodi analoghi, nonché, in genere,
alle lacunose informazioni che gli Italiani
ricevono dalla scuola e dai mezzi di informazione
in merito alla Corsica (e viceversa), in
particolare sul versante storico, culturale e
linguistico, non ci pare il caso di ipotizzare
oscure trame e propendiamo per l'ipotesi che si
tratti di una serie di curiose coincidenze le
quali, in mancanza di dati oggettivi che
suggeriscano scenari ulteriori, sembrano avere a
che fare più con la disattenzione che con la
censura.
[Testi a
cura di Fabrizio Diciotti, rev. di M.C.
Ferro]
Au-delà du fait que la version italienne de
la scène en a diminué l'effet
comique, on peut mettre en évidence au moins
deux détails intéressants.
Dans la version
originale, le francophone (Clavier) sous-entend que
le corse ressemble à l'italien et le
définit comme « patois », ce qui
provoque la réaction immédiate des
Corses (Reno et Murino) qui revendiquent pour leur
idiome le statut de « langue »,
précisant en outre qu'il « n'a rien
à voir avec l'italien ».
Dans la version
italienne, plus une seule référence
n'est faite à la langue corse : de tout le
film on n'entend pas un seul mot en
corse.
À propos
de cela et d'autres scènes analogues, et en
général des lacunes des Italiens
concernant les aspects historique, culturel et
linguistique de la Corse, dues à
l'école et aux médias, il ne nous
semble pas judicieux de faire des hypothèses
quant à d'obscurs plans secrets et nous
retiendrons qu'il s'agit là de curieuses
coïncidences qui, faute de données
objectives suggérant d'autres
scénarios, nous semblent relever d'un manque
d'attention plutôt que de la
censure.
[Traduction
de Eiustessu]
Note
[1] - Philippe
Carrese ,
scrittore e regista di lontane origini italiane,
è nato a Marsiglia nel 1956. Ha iniziato a
lavorare per la televisione dopo aver studiato
presso la celebre scuola di cinema francese IDHEC.
Ha firmato due importanti film TV, "Malaterra" (in
lingua occitana) e "Liberata", vincitori di
numerosi premi sia in Francia che in altri Paesi
europei.
Come scrittore, Carrese è noto per una serie
di romanzi polizieschi ambientati a Marsiglia,
editi da Syros nella collana "Souris
Noire". [2] - Il ruolo di ufficiale delle
Camicie Nere è interpretato da Orlando
Forioso, regista e attore italiano noto in
Corsica per il suo impegno a favore della
promozione della cultura isolana.
Tuttavia, in questo film di "Camicie Nere"
strictu sensu (ossia, di componenti della
Milizia
Volontaria per la Sicurezza Nazionale
),
non se ne vedono affatto e il termine "Camicie
Nere" è utilizzato come sinonimo di
"fascisti" o, anche più genericamente ed
erroneamente, di "soldati italiani".
L'abbigliamento indossato da Forioso, infatti, non
è quello tipico della Milizia; la divisa
avrebbe dovuto esibire, sul bavero, fregi a due
fiamme con fasci littori al posto delle stellette
(ed eventualmente, sebbene non necessariamente,
contemplare il fez
).
Inoltre, i fregi sulle maniche avrebbero dovuto
essere quadrangolari e non tondi. In effetti, la
divisa utilizzata è quella di un
sottotenente del Regio Esercito, inquadrato
nell'Arma del Genio.
Notes
[1]- Philippe
Carrese ,
écrivain et metteur en scène, ayant
de lointaines origines italiennes, est né
à Marseille en 1956. Il a commencé
à travailler pour la
télévision après avoir
étudié à la
célèbre école de cinéma
français IDHEC. Il a signé deux films
TV importants, « Malaterra »
(en langue occitane) et
« Liberata », qui a
remporté de nombreux prix aussi bien en
France que dans dautres pays
européens.
En tant quécrivain, Carrese est connu
pour une série de romans policiers ayant
pour cadre Marseille, aux éditions de Syros
dans la collection « Souris
Noire ». [2] - Le rôle de
lofficier des Chemises Noires est
interprété par Orlando
Forioso, metteur en scène et acteur
italien connu en Corse pour son engagement en
faveur de la promotion de la culture insulaire.
Toutefois, dans ce film on ne voit en aucune
façon de « Chemises
Noires » à proprement parler (ou
dit autrement, de membres de la Milizia
Volontaria per la Sicurezza
Nazionale),
et lexpression « Chemises
Noires » est utilisée ici comme
synonyme de « fascistes », ou
de manière encore plus erronnée et
générique, de « soldats
italiens ».
Les vêtements que porte Forioso, en effet, ne
sont pas ceux de la Milice ; luniforme
aurait dû comporter, sur le col, des frises
à deux flammes avec des faisceaux au lieu
des petites étoiles (et
éventuellement, si ce nest
nécessairement, être muni d'un
fez
).
En outre, les frises sur les manches auraient
dû être de forme quadrangulaire, et non
ronds. En effet, luniforme utilisé est
celui dun sous-lieutenant du Regio Esercito
(l'armée royale), dans lArmée
du Génie.
Sitografia per "Liberata" /
Sitegraphie
pour "Liberata":